Kaito Seishin

Presentation du Personnage:

Nom:

Seishin

Prénom:

Kaito

Age:

17 ans

Classe:

Chi

Elève ou prof :

Elève

Description physiques (2 lignes):

Grand, mince, musclé. Kaito est assez beau, pour cela il avait déjà une petite, certe petite mais assez bonne réputation dans son école. POur être exact :
Taille : 1.80m
Poids : 60Kg
Bien proportionné, il a, depuis son enfance, pratiqué de nombreux sports. Les voici : Football, VOlleyball, Badminton, Kendo. Aussi doué en musique, KAito a toutes sortes de talent dont on pourrait rêver si on n'en fait pas plus. POurrait-on le décrire sous le terme de garçon "parfait" ? Non. Loin de là. Peut-être a-t-il beaucoup de choses comme la beauté d'un jeune homme, le corps dont beaucoup rêvent, mais son caractère parfois trop directe envers les jeunes filles souvent le rend detestable si on ne le comprend pas.
Il est souvent habillé d'une simple chemise qu'il ne ferme jamais correctement, ce qui lui donne cet air de sauvage, il porte autour de son cou un fil noir enroulé plusieurs fois là. Il porte aussi souvent un ruban rouge qu'il n'attache jamais et laisse se balader sous le col de sa chemise ouverte, souvent violette, couleur semblable à ses yeux ainsi que ses cheveux fins, avec deux mèches plus longues qui lui cachent un peu ses oreilles.

Description Morale (3 lignes):

Depuis sa plus belle enfance, il lui fut apprit d'être directe afin de ne pas décevoir une personne si jamais elle venait à découvrir que tout ce qu'il pensait était un simple mensonge pour ne pas la blesser. Toute personne préfère entendre la vérité afin de se corriger au fur et à mesure. Ainsi est KAito, un jeune homme parfois froid, directe, que cela blesse ou pas il dit son avis. PArfois timide, mais tout de même directe, il sait ce qu'il veut faire, ce qu'il désire, il se décide assez rapidement et reste fixe sur sa décison.
Silencieux, il passe souvent inaperçu, mis à part pour son physique ( voir description ). Il est rare de le voir sourire, encore plus de le voir rire. Voyant son visage si sérieux, on peut toujours déduire qu'il n'est pas une personne avec qui on peut rire, mais l'erreur est humaine. Bien qu'il n'en ai pas l'air, Kaito montre sa vraie personne au milieux d'une foule de gens qu'il connais très bien. Rare, certes. Devant des personnes, toujours des adultes, il reste le jeune homme agréable, souriant, silmpa. Presque le contraire de la personnalité qu'il déteste cacher par dessus tout. CEla vous en dit-il assez sur lui si vous imaginez qu'il se retrouve face à des gens de son âge ? Avec ce qu'il a vécu, ce qu'il fait, il lui arrive aussi d'être arrogant. Voila presque tout...

Histoires (5 lignes):

Naissance

C'était dans un hopital privé que toute l'histoire de Kaito Seishin commença. Un hopital qui appartenait à sa famille connue sous le nom de "Seishin", peut-être pas populaire, mais faisant partie des plus riches de la ville native de ce petit bout de chou qui venait de pousser son premier cri une nuit vers onze heures. Sa mère fut réveillée dans son sommeil par des douleurs incontrolables dans son ventre qui lui poussaient à crier :

- C'est...! C'est le moment ! Keeeeeeeen !!!

Tout de suite, Ken Seishin, père de Kaito et mari d'Ai Natsume, enceinte du petit, accouru de son bureau était chef de l'hopital, un docteur talentueux et reconnu par plusieurs. Une fois dans la chambre qu'il avait prescris à sa femme qui en cet instant criait, d'autres médecins ainsi que d'inombrables infirmières entrèrent dans la chambre pour aider Madame Natsume à aller dans une autre salle, sur un lit d'hopital.
Ken, qui ne fut responsable des naissances attendit aux cotés de sa femme, sa main dans la sienne pendant que celle-ci la serrait de toutes ses forces en poussant des cris atroces de douleurs.
Quelques heures passèrent avant que les docteurs lui disent de cesser de pousser, ils tenaient dans leurs bras là un petit bébé baignant encore à moitié dans le sang de sa mère et donc le cordon du nombril ne fut encore ocupé. Des cris, il était vivant et tout allait bien. La mère de Kaito fut raménée dans sa chambre inconsciente. Elle s'était évanouie peu après avoir vu la petite tête du nouveau né. Ken resta jour et nuit auprès d'elle, dispensé de travail pour cette cause pendant que le petit Kaito, les yeux fermé, la bouche ouverte dormait paisiblement dans la nurserie.
Quelques jours plus tard, complètement rétablie, Ai eut enfin le courage de se relever et d'aller voir en compagnie de son mari son petit bébé, le seule et unique Kaito. Il était réveillé et bougeait de tous ses membres, heureux.

Enfance difficile, vie trop belle

Il avait grandi le petit KAito qui dormait dans la nurserie il y a quelques années. Comme d'habitude son père était au travail, il n'avait pratiquement jamais de temps pour lui. Cette fois-ci, Ken Seishin se trouvait au Etats-Unis accompagnant un patient qui avait grandement besoin d'être transféré. Quand à Ai, maintenant âgée de trente-sept ans, celle-ci avait reprit son travail et n'avait plus non plus le temps pour son fils qui lui se trouvait seul dans le grand jardin de leur maison, une villa blanche avec dix chambres, trois au premier et au deuxième étage, deux au troisième et trois dans l'ancienne pièce jadis appelée "grenier".
REvenons à Kaito, seul dans l'immense jardin de cette grande maison vide, il avait une balle de foot sous le pieds, un peu plus loin se trouvait son professeur privé : Masataka-Sen'.

- Oy ! Masataka-Sen' !

- Kaito ! Aller !

Sur ce mot-ci, Kaito prit de l'élan, s'avança à une vitesse incroyable vers son Sensei et tira du pied gauche la balle de foot qui fila vers le goal gardé par son Sensei qui l'enseignait depuis plus de cinq ans. Avec une vitesse et une force pareille, la balle attérit sans problème dans le but en passant à deux millimètres du visage de Masataka. Sourire de vainqueur aux lèvres, avec aussi un petit air arrogant, comme toujours, Kaito le regarda pendant que celui-ci lanca :

- Bien joué Kaito ! Je n'attendais rien d'autre de ta part. Oh ! Ton professeur de volley va arriver, j'vais m'en aller. A vrai dire on n'a pas tendance à s'entendre Senji et moi.

Il passa la balle à Kaito et le salua de la main en se dirigeant vers ls sortie du jardin. Sûrement pour ne pas avoir à croiser Senji qui arriva à peine cinq minutes plus tard. D'un grand potentiel, dur et stricte, il enseignait son art à Kaito depuis plus de cinq ans aussi. KAito suivait des cours de cette sorte trois fois par semaine, une sorte d'entrainement intensif pendant au moins deux heures par sport. Lundi venait le foot et le volley, mercredi le badminton et le Kendo et le samedi venaient ses cours privés. Il avait tout, mis à part un professeur qui allait lui enseigner la maitrise de son élément : la terre. Le jeune homme n'avait fait que quelques essais tout seul pendant qu'il n'avait rien à faire. PArmi ses essais, il avait réussi à :

- Tranformer des arbres en statue de pierre
- Reconstruite des choses à partir de morceaux de terre
- et d'autre moin importantes

Une nouvelle école ?

Ses parents étaient au courant de ce talent caché, certainement n'était-il pas le seul à posséder ce genre de "pouvoir". MAis ils n'avaient jamais de temps pour leur fils, depuis bien longtemps déjà, Kaito vivait sur ses propores pieds, faisait tout tout seul et ne demandait jamais rien. Ce qui l'avait bien éloigné de sa famille, personne n'était conscient qu'il existait. Kaito n'était rien, l'argent et le travail étaient tout.
Un soir alors qu'il rentrait d'une boîte avec quelques amis, son père l'appela dans son bureua privé, ainsi que sa mère et dit, les bras croisés sur le torse et la chemise blanche de docteur :

- Kaito. Je sais que nous n'avons pas eu de temps pour toi. Comme c'est ainsi, nous avons cherché un pensionnat éduquant les gens de ton genre.

- Oho...! Tu ne t'es jamais soucié de moi, de mon éducation, de ce que je ressentais en étant le fils de Ken Seishin, le grand docteur de l'hopital Seishin. Et c'est maintenant que tu m'appelle pour me dire que tu as trouvé un endroit pour m'y envoyer !

- Kai..Kaito, calme toi voyons !, dit sa mère en attrapant le manche du T-shirt de son fils bien aimé, les larmes aux yeux.

- Ne te permet pas de me parler ainsi !

Son père se leva, Kaito debout aussi, on aurait cru qu'une guerre allait débuter entre père et fils.

- A quoi bon m'énerver contre toi. Je perds mon temps.

Il sortit de la pièce dont l'atmosphère était plus que gênante et rejoignit ses amis dans sa propre chambre. Sourire arrogant aux lèvres, il leur raconta ses projets. Tous l'écoutaient avec silence, bouche bée et yeux grands ouverts :

- Eh mais Kaito ! Tu te rend compte de ce tu fais ? , dit l'un.

- Ey ! Ce serait bien pour lui d'un côté, il a cherché un endroit pour apprendre ça !, répondit un autre.

- C'est bon. Ce n'est pas comme si j'allais pas revenir. Je vais juste faire ce que mon père veux. Il aura un fardeau de moins, il ne m'a pas concidéré comme autre chose. Merci les gars. OUblions ça et amusons nous encore une dernière fois.

Kaito les invita à sortir de cette salle pour aller à un concert que leur école organisait en cette soirée. L'envie l'en avait pris...

Valise, nouvelle vie, enfin Libre

Kaito se tenait debout contre le grand portail de la villa des Seishin et n'attendait plus que le chauffeur. D'autres voitures s'arrêtèrent devant la résidence, Masataka-sensei, Senji-sensei, Mamoru-Sensei ( professeur de badminton) et Hatsushi-Sensei( professeur de Kendo ) en descendirent.

- Bonne chance Kaito.

- Reviens vite, j'avoue que ma période d'enseignement auprès de toi était dure, mais après tout, tu es garçon amusant.

- Tâche de ne pas oublier ce que nous avons fait ensemble.

- Pareil pour moi !

C'était bien en leur présence que Kaito se sentait le mieux. Comme une famille, il était bien bizarre de croire que des professeurs s'occupaient de se souciaient de ce jeune homme encore plus que sa famille. Arrivèrent enfin ses parents, ils saluèrent les professeurs et la mère de Kaito le rejoignit e lui déposant un baiser sur sa douce joue, disant :

- Excuse-nous pour ces dernières années Kaito. Bonne chance.

Elle le prit dans ses bras, comme dans ses souvenirs lors de son enfance. Le jeune homme se détacha de sa mère lui murmurant quelques mots à l'oreille :

- ...Dis toujours, maman...Merci pour tout.

Ces mots là ne furent pas prononcés depuis déjà des lustres, Kaito souria ue dernière fois avant de partir, un sourir amical, chaleureux. POur une dernière fois avant son départ, avant d'entrer dans la voiture qui le ramena vers le pensionnat où il allait rester encore un bon moment...


But dans la vie: Vivre la vie en paix sans être dérangés quoiqu'il fasse.

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Roohh...Yen a trop

Comment avait vous connus le forum:

A ne pas chercher xd